Caleb Landry Jones est né à Garland, au Texas, en 1989 et est issu d’une longue lignée de violonistes depuis trois ou quatre générations. Son grand-père écrivait des jingles pour des publicités, sa mère, chanteuse et compositrice, donnait des leçons de piano à leur domicile et son père était un entrepreneur qui travaillait beaucoup pour le détaillant d’équipement musical Brook Mays à Dallas. Cela étant, Jones n’est pas certain d’avoir incorporé toutes ces influences dans sa musique. D’ailleurs, il ne joue pas de violon. Caleb Landry Jones a commencé à écrire et enregistrer de la musique à l’âge de 16 ans, à peu près au même moment où il a démarré sa carrière professionnelle dans le cinéma (Twin Peaks, Get Out). Il a débuté dans un groupe nommé Robert Jones, puis a perdu son guitariste parti faire des études, a emménagé dans son propre appartement, et a rompu avec quelqu’un. C’est à partir de ce moment que la musique a pris une autre dimension. Il s’est mis à la guitare et a composé morceaux après morceaux après morceaux… une manière pour lui de se soigner. Par la suite, les chansons se sont constituées dans sa tête et il devait attendre de retourner à la grange de ses parents pour pouvoir les enregistrer. Parfois les idées fusionnaient entre elles, ce qui a donné naissance aux longs morceaux épiques comme ceux présents sur son premier album solo The Mother Stone. L’album est construit à partir de rêves, et ceux-ci se mélangent à la réalité sans que l’on sache vraiment ce qui vrai ou pas.

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