Navire blanc naviguant dans une mer de noirceur, le chant du cygne de Codeine est arrivé en 1994 avec The White Birch, leur deuxième et dernier album, au milieu de l’ascension du grunge vers le statut de figure de proue de la radio alternative. La guitare de John Engle alterne entre le son cristallin et le sludge, et la basse distordue de Stephen Immerwhar flotte au-dessus de la batterie punitive du nouveau venu Doug Scharin (Rex, June of 44), ce qui donne neuf méditations parfaites sur la solitude et l’incertitude des débuts de l’âge adulte.

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