Formé en 2014 à Chicago par Joshua Condon et Eliza Weber, Glyders n’a pas chômé, enchaînant les concerts dans toute la ville et le pays avec leur son mystérieux, partant sur la route quand et où ils le pouvaient, des US à l’Europe, prenant aussi le temps d’auto-éditer quelques EP (DIM et Lend a Hand) qui promettaient un album complet réellement trippant. Alimenté par le chant spectral de Josh et la liquidité créée par sa guitare et la basse d’Eliza, le vaisseau spatial labyrinthique de Glyders s’envole et trouve dans son arc un calmant mélange d’états d’âme délirants. Imprégnés des énigmes pop et psychédéliques du rock’n’roll d’antan, de bourdonnements et de grondements incontrôlables, les Glyders s’agitent et vivent pour le magnétophone comme pour le public avec une palette de sons flexible et étendue et des chansons bien ficelées. Pour leur premier album, le mot d’ordre, comme toujours, est « minimal maximal ». Et ça marche. Après quelques changements de line-up au fil des ans, ils se sont installés avec le batteur Joe Seger et fixent leurs objectifs sur des horizons lointains
- High Time
- Wrong Sometimes Right
- Geneva Strangemod
- Maria’s Hunt
- Shoreline
- Golden Hour
- Smooth Walker
- Can’t Beat The Heat
- Inbound/Outbound
- Shoreline (Reprise)