Un album solaire pour Harry Belafonte qui s’ouvre avec un de ses plus gros hits, “Day O”, qu’on retrouve dans une version modernisée sur la BO du film de Tim Burton, Beetlejuice Beetlejuice, la suite, 36 ans après, du film qui révéla Winona Ryder. L’ambiance insulaire habite les onze titres de cet album sorti en 1956 dont la quasi-totalité des morceaux est écrite par Lord Burgess, chanteur et guitariste originaire de New York. Véritable best of, ce troisième album studio du chanteur noir américain fut un immense succès, dépassant le million d’exemplaires vendus. La voix délicate d’Harry fait des merveilles sur “Brown Skin Girl”, “The Jack-Ass Song” accélère le tempo tandis que “Jamaica Farewell” est une lettre d’amour à l’île du reggae, un style qui verra le jour une décennie après la sortie de Calypso. Un disque impeccable par un artiste d’exception.
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