L’artiste folk australienne Indigo Sparke partage ses expériences profondément personnelles de dépendance, guérison, chagrin, et joie avec un premier album mettant en évidence les espaces entre la polarité de la douceur et du courage. Indigo a appris seule à jouer de la guitare vers l’âge de 20 ans. Au cours des années suivantes, elle s’est imposée sur la scène musicale australienne, et a sorti un EP Night Bloom en 2016. Par la suite, elle a joué en première partie de Big Thief en 2017/2018, avant d’être invitée à SXSW en 2019. Cette année-là, elle a vécu et voyagé à travers l’Amérique, dans de nombreuses chambres d’hôtel et au milieu de vastes paysages traversés par des routes infinies, dans des endroits comme New York, Minneapolis, Topanga, Taos. Ella a canalisé son énergie créative sur ce premier album, Echo, enregistré entre Los Angeles, l’Italie et New-York, co-produit par Indigo, Adrianne Lenker (de Big Thief) et Andrew Sarlo (producteur de Big Thief, Nick Hakim, Bon Iver, Hand Habits). L’album a été réalisé au Figure 8 Studio à New York, qui appartient au musicien Shahzad Ismaily. Phil Weinrobe (producteur / ingénieur pour Leonard Cohen, Damien Rice, Adrianne Lenken, Buck Meek…) a enregistré et mixé l’album. Ce premier album incroyablement profond et intime, est une ode à la mort et au déclin. L’art d’Indigo Sparke recherche la vulnérabilité qui vient avec un sentiment de vraie sécurité, une vulnérabilité qui peut donner accès à un monde derrière une expérience tangible. Alors que les chansons d’Indigo sont une expérience océanique d’émotion, sa poésie, elle, est ancrée. Telles des balises en pierre sur un chemin, ses poèmes sont laissés à l’auditeur comme des croisements où quelque chose prend le dessus au-delà de l’esprit logique. 

  1. Colourblind
  2. Undone
  3. Bad Dreams
  4. Carnival
  5. Dog Bark Echo
  6. Golden Age
  7. Wolf
  8. Baby
  9. Everything Everything

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