It’s Sunday. Dawnie déteste les dimanche, un jour où l’on ne fait rien, un jour plat et improductif où l’énergie n’est plus canalisée. Lucas adore les dimanches : un jour où on ne fait rien, donc un jour où on peut tout faire : jouer aux cartes, peindre, regarder le plafond. Lucas et Dawnie se retrouvent pour tout faire et ne rien faire les dimanche… puis se mettent à écrire et composer ensemble des chansons. Dimanche après dimanche, leur fougue va donner naissance à une, puis deux, puis trois chansons, et finalement un album. En mai 2018, Dawnie et Lucas déposent leur candidature pour un tremplin organisé par les inrocks… It’s Sunday se retrouve parmi les 10 candidats finalistes et c’est le seul groupe de rock avec une vrai batterie. Repéré à cette occasion par le label Howlin Banana et le tourneur Midi Artistes, la carrière scénique de It’s Sunday est lancée : Festival Wheels & Waves de Biarritz, Midi Festival et première partie de Jesus and Mary Chain au Trianon. It’s Sunday sort de la chambre et le rêve devient réalité : faire découvrir au plus grand nombre des chansons bancales et naïves dans un maelstrom de guitares spatiales rêveuses et des voix trainantes entêtantes et éthérées. On pense à Pavement, Jesus & Mary Chain, My Bloody Valentine ou encore Slowdive… autant de références qui ne situent pas It’s Sunday dans une démarche revivaliste, mais qui nous montre qu’il est possible de réinventer avec malice et justesse l’esthétique des années 90 tout en évitant les écueils de cette décennie bénie.
- Projection on a Sheet
- Tissue Issues
- Pray for the Sunshine
- Comme un Fool
- Leafy Friend
- Permanent Vacation
- Daisy Depression
- Go and Die
- Hair
- Projection on a Sheet