Après six sorties et trois ans de longues tournées à travers l’Europe et les US, le trio anglais basé à Berlin mené par le producteur et auteur-compositeur Edmund Kenny prend un virage ambitieux et tentaculaire avec Light, West. Une bande-son pleine de groove pour un film imaginaire qui ne se réalisera jamais, ce disque ressemble à la revue la plus complète des influences et inspirations variées de Kerala Dust, fusionnée en quelque chose d’entièrement unique. C’est assurément leur projet lyrique le plus ambitieux à ce jour. Lors de la réalisation du disque, Edmund a pris une pause de la musique pour se concentrer uniquement sur l’écriture de nouvelles. Ayant tourné intensément ces trois dernières années, il était à la recherche de nouvelles directions et couleurs narratives, qu’il a d’abord trouvées dans la littérature avant de revenir à la musique avec une nouvelle perspective, dont le résultat se retrouve partout sur le disque. Les chansons décrivent son approche des relations d’une manière rampante et abstraite. Ne voulant jamais être trop évident, son désir est de laisser autant de place que possible à l’interprétation à l’auditeur – tout en le menant par la main d’image en image. Cette imagerie abstraite est soulignée par la composition musicale envoûtante et dynamique de Kenny – racontant toujours une histoire tout en laissant sa signification à l’auditeur.

  1. Night Bell (Arizona)
  2. Untitled (Or The Evening Redness In The West)
  3. Lilac Dune
  4. Amsteram
  5. Reflected (Live In Santa Ana)
  6. I Never Talk To Mirrors
  7. Phoebe

Poids 0.46 kg
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